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2 - Transcription en romaji
La transcription en romaji correspond à la transcription des sonorités japonaises dans l'alphabet latin. Il existe plusieurs systèmes de transcription, le plus utilisé étant le système appelé kunrei-shiki ou Hepburn.
Ce site s'appuie également sur ce système mais diffère sur certains points, ceci pour des raisons techniques. Voici les principales règles suivies dans mon site pour la transcription en romaji :
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Les syllabes simples et dérivées sont transcrites conformément au tableau principal des Cinquante Sons de base, à la fois pour les hiragana et les katakana.
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Les voyelles longues sont habituellement notées avec un accent circonflexe ou avec une marque d'allongement. J'ai préféré les noter en doublant la voyelle finale. Cette méthode évite de recourir aux accents souvent problématiques, notamment avec les caractères japonais. Exemples: ryokoo, fuukin, ...
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La nasale finale de syllabe ん est toujours notée n, même dans les cas où phonétiquement elle s'apparente plus à un m, c'est-à-dire, lorsqu'elle est précédée des consonnes (m, b et p). Exemple : shinbun
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Le point de séparation est utilisé lorsque la nasale finale n ん est suivie d'une voyelle ou qu'une syllabe précède une syllabe sans consonne (a, i, u, e, o). Exemples : kon.ya ou gi.in.
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Les mots comportant des sonorités redoublées sont notés en doublant leurs consonnes. Exemple : ikkagetsu, issho, ...
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La syllabe comportant l'initiale h et la finale u ne se note pas hu mais fu.
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